Home → Recorded Songs → 1976 → Les casseuses |
ENGLISH |
|
ITALIANO | |||
---|---|---|---|
Les casseuses | The breakers | ||
Tant qu’elle a besoin du matou, Ma chatte est tendre comme tout, Quand elle est comblée, aussitôt Ell’ griffe, ell’ mord, ell’ fait l’gros dos. Quand vous ne nous les caressez Pas, chéries, vous nous les cassez. Oubliez-les, si fair’ se peut, Qu’ell’s se reposent. Quand vous nous les dorlotez pas, Vous nous les passez à tabac. Oubliez-les, si fair’ se peut, Qu’ell’s se reposent un peu, Qu’ell’s se reposent. Enamourée, ma femme est douce, Mes amis vous le diront tous. Après l’étreinte, en moins de deux Ell’ r’devient un bâton merdeux. Quand vous ne nous les caressez Pas, chéries, vous nous les cassez. Oubliez-les, si fair’ se peut, Qu’ell’s se reposent. Quand vous nous les dorlotez pas, Vous nous les passez à tabac. Oubliez-les, si fair’ se peut, Qu’ell’s se reposent un peu, Qu’ell’s se reposent. Dans l’alcôve, on est bien reçus Par la voisine du dessus. Un’ fois son désir assouvi, Ingrate, ell’ nous les crucifie. Quand vous ne nous les caressez Pas, chéries, vous nous les cassez. Oubliez-les, si fair’ se peut, Qu’ell’s se reposent. Quand vous nous les dorlotez pas, Vous nous les passez à tabac. Oubliez-les, si fair’ se peut, Qu’ell’s se reposent un peu, Qu’ell’s se reposent. Quand ell’ passe en revue les zouaves, Ma sœur est câline et suave. Dès que s’achève l’examen, Gare à qui tombe sous sa main. Quand vous ne nous les caressez Pas, chéries, vous nous les cassez. Oubliez-les, si fair’ se peut, Qu’ell’s se reposent. Quand vous nous les dorlotez pas, Vous nous les passez à tabac. Oubliez-les, si fair’ se peut, Qu’ell’s se reposent un peu, Qu’ell’s se reposent. Si tout le monde en ma maison Reste au lit plus que de raison, C’est pas qu’on soit lubriqu’s, c’est qu’il Y a guère que là qu’on est tranquilles. Quand vous ne nous les caressez Pas, chéries, vous nous les cassez. Oubliez-les, si fair’ se peut, Qu’ell’s se reposent. Quand vous nous les dorlotez pas, Vous nous les passez à tabac. Oubliez-les, si fair’ se peut, Qu’ell’s se reposent un peu, Qu’ell’s se reposent. |
When she needs the male, My pussycat is tender like nothing else, When she is satisfied, in a moment She scratches, she baits, she is arching her back. When you don’t caress them My dears, you break them. Forget them, if possible, So they can rest. When you don’t cuddle them, You batter them. Forget them, is possible, So they can rest for a while, So they can rest. When in love, my wife is sweet, My friends will tell you all. After the embrace, in less than a minute She is again a pesterer. When you don’t caress them My dears, you break them. Forget them, if possible, So they can rest. When you don’t cuddle them, You batter them. Forget them, is possible, So they can rest for a while, So they can rest. In her alcove, we are well received By the neighbor of the upper floor. Once her cravings are appeased, Ungratefully, she crucifies them. When you don’t caress them My dears, you break them. Forget them, if possible, So they can rest. When you don’t cuddle them, You batter them. Forget them, is possible, So they can rest for a while, So they can rest. When she scrutinizes the zouaves, My sister is cute and soft. As soon as she completes the examination, Watch out not to fall in her hands. When you don’t caress them My dears, you break them. Forget them, if possible, So they can rest. When you don’t cuddle them, You batter them. Forget them, is possible, So they can rest for a while, So they can rest. If everybody at my home Stays in bed more than usual, It’s not because we are lascivious, it’s Only there that we can be left in peace. When you don’t caress them My dears, you break them. Forget them, if possible, So they can rest. When you don’t cuddle them, You batter them. Forget them, is possible, So they can rest for a while, So they can rest. |