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Je garde toujours | Conservo sempre | ||
C’était un jour paisible, un jour silencieux, Un jour chargé d’odeurs, de caresses. La lumière était douce et là-haut dans les cieux Des couleurs traduisaient la tendresse. Nous nous sommes croisés Au bout d’un pré fleuri. Au bout d’un long baiser, Nous nous sommes compris. C’était un jour paisible, un jour silencieux, Un jour chargé d’odeurs, de caresses. Je garde toujours De mon court séjour Dans votre jeune cœur de vingt ans Un doux souvenir Que n’arrive à ternir le temps. Le temps qui s’enfuit Emporte avec lui Les jours sombres et malheureux. Mais les jours d’espoir Viennent souvent nous voir Nombreux. Voici dans le calme de l’été Votre robe claire, Vos grands yeux plein de naïveté Qu’un sourire éclaire, Les chansons que yous m’avez chantées Pour savoir me plaire, Voici les charmants baisers surpris. Je garde toujours De mon court séjour Dans votre jeune cœur de vingt ans Un doux souvenir Que n’arrive à ternir le temps. C’était un jour paisible, un jour silencieux, Un jour chargé d’odeurs, de caresses. La lumière était douce et là-haut dans les cieux Des couleurs traduisaient la tendresse. Et sans formalité, Au bout du pré fleuri, Nous nous sommes quittés. Comme nous nous étions pris, La lumiere était douce et là-haut dans les cieux Des couleurs traduisaient la tendresse. Je gard’rai toujours De mon court séjour Dans votre jeune cœur de vingt ans Un doux souvenir Que n’arrive à ternir le temps. Le temps qui s’enfuit Emporte avec lui Les jours sombres et malheureux. Mais les jours d’espoir Viennent souvent me voir Nombreux. Dans le ciel sonore d’un matin, Une cloche tinte Une cloche tint’ l’incertain Des joyeuses teintes, Des joyeuses teintes d’un destin Qui vont être éteintes, Qui vont être éteintes par la nuit, L’ennui. Je gard’rai toujours De mon court séjour Dans votre jeune cœur de vingt ans Un doux souvenir Que ne pourra ternir Le temps. |
Era una giornata tranquilla, una giornata silenziosa, Una giornata piena di odori, di carezze. La luce era morbida e lassù nei cieli I colori trasmettevano tenerezza. Abbiamo incrociato le nostre strade Alla fine di un prato fiorito. Dopo un lungo bacio, Ci siamo capiti. È stata una giornata tranquilla, una giornata silenziosa, Una giornata piena di odori, di carezze. Conservo sempre Del mio breve soggiorno Nel vostro giovane cuore di vent’anni Un dolce ricordo Che il tempo non può scolorire. Il tempo che fugge Porta con sé I giorni bui e infelici. Ma i giorni della speranza Vengono spesso a trovarci Numerosi. Ecco la calma dell'estate Il vostro vestito leggero, I vostri grandi occhi pieni di ingenuità Che un sorriso illumina, Le canzoni che mi avete cantato Per sapere come accontentarmi, Ecco gli affascinanti baci sorpresi. Conservo sempre Del mio breve soggiorno Nel vostro giovane cuore di vent'anni Un dolce ricordo Che il tempo non può scolorire. Era una giornata tranquilla, una giornata silenziosa, Una giornata piena di odori, di carezze. La luce era morbida e lassù nei cieli I colori trasmettevano tenerezza. E senza formalità, Alla fine del prato fiorito, Ci siamo separati. Come ci eravamo presi, La luce era morbida e lassù nei cieli I colori trasmettevano tenerezza. Conserverò sempre Del mio breve soggiorno Nel vostro giovane cuore di vent'anni Un dolce ricordo Che il tempo non può scolorire. Il tempo che fugge Porta con sé I giorni bui e infelici. Ma i giorni della speranza Vengono spesso a trovarmi Numerosi. Nel cielo sonoro di un mattino, Suona una campana Una campana suona l'incertezza Delle sfumature gioiose, Delle sfumature gioiose di un destino Che saranno spente, Che saranno spente dalla notte, Dalla noia. Conserverò sempre Del mio breve soggiorno Nel vostro giovane cuore di vent'anni Un dolce ricordo Che non può scolorire Il tempo. |